Le promeneur curieux d’Histoire ou l’amateur de patrimoine religieux ne s’étonnent plus de trouver disséminées dans nos campagnes les reliques d’une foultitude de saints locaux. Mais que font les os d’un saint Égyptien du IVe siècle dans une église abbatiale dont l’ombre formidable écrase un modeste bourg assoupi au creux d’un vallon boisé du Chambaran, en Isère ? Les adeptes de littérature de terroir résoudront ce paradoxe en lisant CITÉ CÉLESTE, roman historique écrit sous pseudonyme par un Frère de la juridiction, avocat de métier.

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